À l’approche du Ramadan, l’opinion publique marocaine est en proie à un dilemme concernant l’achat de dattes étrangères, notamment algériennes et tunisiennes, qui sont généralement préférées aux dattes marocaines. Ces dernières ont vu leur qualité baisser au fil des années, contrairement à leurs prix, qui restent élevés.
Si le problème ne se pose pas pour les dattes en provenance de Tunisie – bien que les relations entre ce pays et le Maroc soient actuellement au plus bas –, la question est tout autre pour celles venant d’Algérie. Cette année, un mouvement spontané a émergé, appelant au boycott des dattes algériennes. Cet appel s’est accompagné de rumeurs évoquant d’éventuelles sanctions à l’encontre des acheteurs ne respectant pas le principe de la préférence nationale.
Cependant, les grossistes semblent ignorer cet appel et écoulent librement leurs stocks de dattes algériennes, sans craindre de représailles ni de sanctions.
Mais la réaction la plus inattendue est venue des grandes surfaces arborant l’enseigne Marjane, propriété de la holding royale. Des clients en colère y ont protesté contre la présence des dattes algériennes sur les étalages, alors que les dattes marocaines y sont proposées en quantités bien inférieures. Malgré une forte insistance pour privilégier les dattes nationales en toutes circonstances, ces supermarchés n’ont, à ce jour, toujours pas retiré les dattes algériennes de leurs rayons. Si la colère gronde parmi les citoyens, les ventes, elles, ne faiblissent pas.
Pour justifier leur opposition à l’importation des dattes algériennes, les partisans du boycott avancent un argument géopolitique : selon eux, les bénéfices tirés de ces ventes serviraient à financer l’achat d’armes destinées à être utilisées contre le Maroc. Un argument qui, en cette période de tensions entre les deux pays, trouve un certain écho auprès de l’opinion publique.
Par Jalil Nouri
Un autre problème qui a été soulevé par des citoyens Algériens et celui de l’arrosage des palmiers avec des eaux résiduaires
Maintenant que ces ommerçants ont déjà acheté ces dates, ils ne vlnt paw les jeter, ils voudront les vendre mour recupefef leur argent depenqzr plur l’acaht. Ils ne vont pas les jeter.
C’est au consommateur de ne pas les acheter. C’est déjà bien qu’ils soie t bien identifiés au suoer marché. D’autres pourraient ne pas les identifier pour que le clnsommateur qui boycotte ou ceratins d’entre n’y verraient que du feu
Vous avez raison les consommateurs peuvent très bien ne pas acheter les dattes algériennes. Il est où l amour du Maroc que la plus part des citoyens crie haut et fort sur les réseaux sociaux… il faut boycotter les dattes en prévenance de la tunisie et l algerie se sobt des pays qui détestentle maroc et les marocains depuis toujours et ils ne le cachent même pas . ..
Il faut boyc8tter leurs dattes , les Marocains ne mangent pas de dattes durant ke ramadan ILS NE VONT PAS MOURIR …
Dieu nous a donné une nature pour se comporter naturellement et sainement et non pas pour mêler politique et rancunes , et surtout à la veille de ce mois sacré de Ramadan. Wake Muslims!
N importe quoi, c pathétique