S’il n’avait pas été ambassadeur permanent du Maroc à l’ONU, ses collègues du palais de verre de New-York le verraient bien à un grand poste comme haut fonctionnaire de cette organisation internationale. C’est dire l’estime dont jouit ce diplomate sur la scène diplomatique pour sa maîtrise du dossier du Sahara et son adresse dans la défense de la position marocaine dans ce dossier surtout face au représentant de l’Algérie qui craint ses argumentaires et son sens de la répartie à chacune de ses sorties devant le Conseil de Sécurité. A maintes reprises, l’ambassadeur d’Alger a eu à perdre ses mots devant son vis-à-vis marocain qui n’hésite pas à avoir recours au sarcasmes et à l’ironie pour démonter les mensonges et approximations de la diplomatie algérienne.
Ayant accumulé plusieurs années d’expérience à ce poste, Omar Hilale fait preuve de polyvalence sur d’autres dossiers traités par l’ONU en présentant, avec pédagogie et conviction les positions du royaume dans plusieurs questions d’actualité sur lesquelles se penche la communauté internationale.
Ce diplomate de carrière qui a gravi tous les échelons au sein du ministère des affaires étrangères reste d’une grande modestie et d’une disponibilité constante pour les journalistes qui ont eu à le rencontrer lors de leurs interviews tout en montrant l’exemple au personnel de la mission marocaine à l’ONU avec sa force de travail peu ordinaire à un poste sensible où bon nombre de ses prédécesseurs ne peuvent pas prouver avoir eu autant de mérite à représenter le Maroc.
Élégant et éloquent, ce qui ne gâche rien, bien au contraire pour cette fonction, Omar Hilale, fait figure de pilier de la diplomatie marocaine.
Oui un grand Monsieur qui mérite une plus grande reconnaissance.
Il a toute mon estime personnelle et humble.
Effectivement, c’est un diplomate chevronné. C’est un personnage, une personne polyglotte, compétente, charismatique, un vrai nationaliste marocain amazigh !!! Quand je pense à certains de ses prédécesseurs, ce gentlemen nous régale dans ses interventions surtout face aux « diplomates » algés rien.
Cependant, l’auteur de l’article n’est pas à la hauteur du personnage : Ecrire un paragraphe de cinq (5) lignes (le troisième) sans ponctuation, c’est vraiment nul !!!