La tension monte gravement entre les États-Unis, le Canada et le Mexique, trois pays devant accueillir la Coupe du monde de football 2026, qui se retrouve compromise en raison des différends liés à l’augmentation des taxes douanières, à l’immigration et aux attaques agressives depuis le retour du républicain à la Maison-Blanche, ainsi qu’à ses décisions inamicales et frontales contre ses proches voisins.
Dans son dernier discours d’une heure et quarante minutes, le président américain Donald Trump n’a donné aucun signe d’apaisement, ce qui pousse ses partenaires canadiens et mexicains à hausser le ton et à envisager une riposte sous tous les angles : politique, économique et social. Une situation inédite dans la région.
Ainsi, le Canada s’est déjà déclaré prêt à couper l’électricité fournie à plusieurs États du nord des États-Unis situés à ses frontières, privant au passage leurs stades retenus pour le Mondial 2026. Il a également affirmé son refus ferme, quelles que soient les lourdes sanctions prévues, d’organiser cette compétition en commun avec les États-Unis, alors que les deux pays sont au bord d’une guerre économique sans merci.
Idem pour le Mexique, qui voit des millions de ses ressortissants menacés d’expulsion du territoire américain, sans parler de l’augmentation excessive des taxes sur les produits mexicains importés aux États-Unis, qui lui cause un lourd déficit.
Depuis l’entrée en vigueur de cette nouvelle politique douanière, les bourses commencent à trembler, et il ne serait pas surprenant de voir émerger un nouveau désordre mondial qui pourrait emporter avec lui l’organisation de la Coupe du monde 2026.
Par Jalil Nouri
الي دار راسو فالتبن انقبوه الدجاج.
الله يسترنا