Lors de sa campagne électorale pour un second mandat, le président algérien sortant, Abdelmadjid Tebboune, semble avoir choisi une stratégie axée sur l’accusation plutôt que sur la proposition d’un programme concret pour l’avenir de son pays. Au lieu de présenter des solutions ou une vision claire pour le développement de l’Algérie, Tebboune s’est une fois de plus focalisé sur le Maroc, qu’il désigne comme l’ennemi numéro un de l’Algérie.
Lors d’un récent rassemblement à Djanet, dans le sud de l’Algérie, Tebboune, vêtu du traditionnel « darâa » saharien, a réitéré son soutien au Front Polisario et à la cause de la « République Sahraouie », tout en insinuant que le Maroc serait responsable de la stagnation du développement de son pays. Cette rhétorique, loin d’être nouvelle, semble être devenue la pierre angulaire de sa campagne. Plutôt que de s’attaquer aux défis internes auxquels l’Algérie est confrontée, Tebboune préfère pointer du doigt un ennemi extérieur, espérant ainsi détourner l’attention des problèmes domestiques.
Selon un expert en relations internationales, cette insistance sur le dossier du Sahara marocain reflète l’obsession du régime algérien à maintenir un antagonisme historique avec le Maroc, au détriment des véritables priorités nationales, soulignant que cette stratégie de division est orchestrée par les militaires, qui cherchent avant tout à préserver leur contrôle sur le pouvoir en Algérie.
Un autre professeur de relations internationales a critiqué également cette approche. Il estime que la campagne électorale de Tebboune n’est qu’une « pièce de théâtre » où les véritables enjeux sont ignorés, au profit d’une diversion qui détourne l’attention des graves crises internes auxquelles l’Algérie est confrontée, notamment les mouvements séparatistes au sud du pays et en Kabylie.
Face à ces critiques, il apparaît que la stratégie de Tebboune consiste à détourner l’attention des Algériens des problèmes intérieurs en mettant l’accent sur des questions régionales et internationales. Cependant, cette manœuvre pourrait ne pas suffire à masquer les réalités socio-économiques du pays, de plus en plus fragiles.
Tant qu’Abdelmadjid Tebboune et ses protecteurs militaires continueront de diriger l’Algérie avec une approche centrée sur l’accusation et la diversion, les aspirations des Algériens à un véritable développement resteront un mirage. En se focalisant sur un ennemi extérieur plutôt que sur les réformes nécessaires pour répondre aux défis internes, le régime perpétue un statu quo stérile. Les Algériens, pris en otage par cette stratégie de division, risquent de voir leurs rêves de progrès et de prospérité s’éloigner encore davantage.
Le peuple algérien est mature et il apparait difficile de lui faire avaler autant de couleuvres
Tout à fait faux. Le peuple algérien est éduqué depuis plus de 60 ans sur la détestation du Maroc et le déni de l’histoire. Leur histoire est falsifiée ainsi que leurs manuels scolaires. Méfiez-vous!!
Had tebboun khass lli yh…..bach ytkalma, il commence à nous taper sur le système.
Pas un seul discours sans que ce débile, cet handicapé mental, ce menteur , ce complexé parle de notre Royaume, et avec une grande méchanceté
Il peut faire le grand écart ou déclarer que son pays est la 3ème puissance mondiale, son mandat est favorable au Maroc. Notre réussite diplomatique est due au dérapages des caporaux aux yeux du monde