La Cour d’appel administrative de Rabat a confirmé, jeudi dernier, la destitution de Fawzi Abderrahim de ses fonctions de président et de membre du Conseil communal de Matran, dans la province de Sidi Bennour. Ce jugement, désormais exécutoire immédiatement, marque une nouvelle étape dans la série de destitutions de présidents de communes au Maroc, un phénomène de plus en plus récurrent ces derniers temps. Cette décision accélère ainsi son éviction, rejoignant d’autres responsables communaux qui ont récemment perdu leurs fonctions pour des motifs similaires.
Cette décision fait suite à une enquête menée par la préfecture de Sidi Bennour à la suite des irrégularités relevées par l’Inspection générale de l’administration territoriale, relevant du ministère de l’Intérieur. Hassan Boukouta, gouverneur de la province, avait adressé à Fawzi Abderrahim, membre du parti Authenticité et Modernité (PAM), une demande d’explication concernant ces dysfonctionnements. L’ancien président avait dix jours pour fournir des éclaircissements avant que le dossier de sa destitution ne soit transmis au tribunal administratif de Casablanca, le 16 février 2024.
En parallèle, le gouverneur avait pris la décision de suspendre le président de ses fonctions jusqu’à ce que la justice statue sur l’affaire. Ce n’est pas la première fois que Fawzi Abderrahim est confronté à une telle situation. Moins d’un an auparavant, en décembre 2023, la Cour administrative d’appel de Rabat avait rejeté une demande similaire déposée par le gouverneur de Sidi Bennour visant à le destituer.
Suite à cette décision de destitution, la gestion des affaires du conseil communal de Matran a été confiée au premier adjoint au maire. Ce remplacement intervient après que la justice a considéré que les explications fournies par Fawzi Abderrahim n’étaient pas suffisantes pour justifier les irrégularités constatées dans la gestion de la commune.
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Bouayed Alaoui
24 jours il y a
Aux suivants ! Ils doivent remettre au centime près ce qu’ils ont volé ces ripoux et jugés d’une manière sévère. Trois ou quatre ans de prison c’est rien par rapport à la confiance qu’on attendait de ces voleurs. Jusqu’à quand ? Ces ripoux n’ont pas encore compris. Un voleur demeurera un voleur. Ces ripoux sont là uniquement pour refaire une santé sur le dos de leur fonction c’est ce qui les motive. Donc Basta. Aux diable ces crapules.
Aux suivants ! Ils doivent remettre au centime près ce qu’ils ont volé ces ripoux et jugés d’une manière sévère. Trois ou quatre ans de prison c’est rien par rapport à la confiance qu’on attendait de ces voleurs. Jusqu’à quand ? Ces ripoux n’ont pas encore compris. Un voleur demeurera un voleur. Ces ripoux sont là uniquement pour refaire une santé sur le dos de leur fonction c’est ce qui les motive. Donc Basta. Aux diable ces crapules.