Le juge d’instruction à la Cour d’Appel de Casablanca a interrogé aujourd’hui, mercredi, le principal accusé dans l’affaire « Escobar du Sahara », Saïd Naciri, président du club de football Wydad Athletic Club.
Selon des informations obtenues, la servante du Malien, l’ « Escobar du Sahara » a innocenté l’artiste marocaine Latifa Raafat de toute implication dans cette affaire, affirmant qu’elle n’avait aucune connaissance des agissements des parties accusées.
Les données indiquent que la servante, rentrée d’Espagne il y a quelques jours pour être interrogée, a confirmé qu’elle travaillait pour le baron de la drogue détenu chez lui, avant de déménager avec lui chez Latifa Raafat après leur mariage.
La même source indique que la servante, après le divorce de Raafat et du trafiquant de drogue, a continué à travailler avec l’artiste, affirmant que cette dernière n’était pas au courant des activités du trafiquant de drogue ni de sa relation avec Saïd Naciri.
De son côté, Saïd Naciri, président du Wydad Athletic Club, a commencé à revenir sur certaines de ses déclarations faites devant la Brigade nationale de la police judiciaire, notamment des déclarations et accusations contre l’artiste mentionnée.
Les données indiquent également que Naciri a réitéré que l’artiste marocaine n’était pas au courant de sa relation avec son mari ni des rencontres entre eux.
Dans le même contexte, le chauffeur personnel du baron de la drogue a été interrogé en tant que témoin sur la relation de l’artiste avec son employeur et sa connaissance des activités qu’il menait. Il a confirmé que Latifa Raafat n’avait aucune connaissance des activités de son employeur, le mariage ayant duré moins de 5 moins, pendant lesquels elle n’était pas au courant de ses activités, de ses relations ni des personnalités qu’il rencontrait fréquemment.
Le juge d’instruction de la Cour d’Appel a décidé de poursuivre l’interrogatoire des suspects la semaine prochaine, où Naciri et Biouï seront interrogés sur les opérations de trafic de drogue.
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Kerouach
10 mois il y a
Il faut être sans pitié pour les trafiquants, les corrompus et tous les politiques véreux
Il faut être sans pitié pour les trafiquants, les corrompus et tous les politiques véreux