Le dimanche 8 octobre a été marqué par une intense activité militaire suite à une offensive massive lancée par le Hamas depuis la bande de Gaza, suivie d’une riposte israélienne. Les conséquences de ces confrontations ont été dévastatrices avec des centaines de morts des deux côtés.
Après ces attaques, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré que le pays s’était lancé dans une « guerre longue et difficile ». En effet, les combats au sol se sont intensifiés, notamment avec des frappes aériennes continues sur Gaza.
Dans un développement marquant, le siège du commissariat de police à Sdérot, proche de Gaza, a pris fin le dimanche matin. Les forces israéliennes ont déclaré avoir neutralisé dix combattants armés du Hamas présents dans le bâtiment. Parallèlement, le Hezbollah a revendiqué des tirs depuis le Liban, auxquels l’armée israélienne a répondu par des frappes.
La violence s’est également manifestée par l’infiltration de combattants du Hamas en Israël, contournant les barrières et lançant des attaques surprises. De plus, de nombreux Israéliens ont été capturés par le Hamas, accentuant la tension dans la région.
Netanyahu a souligné que la majorité des forces infiltrées avaient été neutralisées. Toutefois, la situation reste préoccupante avec des points de combat encore actifs sur le territoire.
Selon les dernières informations, le conflit a fait au moins 300 morts et 1854 blessés du côté israélien. À Gaza, le bilan actuel fait état de 256 morts et 1 788 blessés.
Face à cette escalade, la communauté internationale s’inquiète. Une réunion d’urgence du Conseil de sécurité est prévue pour discuter de la situation au Moyen-Orient. La violence actuelle rappelle les affrontements passés entre Israël et ses voisins, avec une intensité rarement vue ces dernières décennies.
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