Le Procureur Général du Roi près la Cour d’Appel de Tanger a publié un communiqué ce mercredi, apportant des précisions importantes concernant le décès de l’ancien médecin militaire, Morad El Saghir, survenu le 12 novembre à Tanger. Cette annonce intervient dans un contexte où de nombreuses rumeurs ont circulé, mettant en doute les circonstances de sa mort.
Selon le communiqué, la mort de Morad El Saghir était « naturelle ». Le parquet a immédiatement ouvert une enquête après avoir été informé du décès, afin de déterminer l’identité du défunt et les circonstances entourant sa mort. Des analyses biométriques et des prélèvements d’ADN ont été effectués pour confirmer son identité.
L’enquête a révélé que Morad El Saghir, né le 4 septembre 1968 à Tanger, est décédé d’un infarctus du myocarde, conséquence d’une hémorragie gastrique liée à de multiples inflammations ulcéreuses. Le rapport médical a écarté toute forme de violence ou de contusions sur le corps.
Cependant, malgré ces conclusions officielles, des rumeurs persistantes sur les réseaux sociaux et dans certaines sphères publiques ont semé le doute sur la nature exacte de sa mort, alimentant des théories de conspiration et des spéculations.
Le personnel administratif et médical ayant suivi le défunt a été interrogé. Il a été confirmé que M. El Saghir était arrivé à l’hôpital le 11 novembre dans un état critique et qu’il est décédé malgré les soins intensifs.
M. El Saghir avait déjà été admis dans le même hôpital le 8 novembre après avoir été trouvé dans un état de santé précaire dans la rue. Il avait quitté l’hôpital après une amélioration de son état sans révéler son identité.
Après avoir entendu la sœur du défunt et réalisé les identifications nécessaires, la famille a été autorisée à récupérer le corps pour les funérailles le 1er décembre 2023. Le parquet a conclu que l’enquête se poursuivait, malgré les rumeurs et spéculations qui entourent cette affaire.
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Les mauvaises langues continueront à dire ce qu’elles pensent. Fini le temps des assassinats et des règlements de compte. Puisse dieu l’avoir en sa sainte miséricorde.
Les chiens aboient la caravane passe.
figurez vous bien que ce n’est pas fini
Il est normal que le doute soit présent eu égard au personnage et ses déclarations sur sa chaînes contre de hauts personnages. Il était interdit de voyage, et subissait des pressions et dérangements avec des convocations multiples dans différentes villes du Royaume.par ailleurs et ce qui est le plus intriguant c’est qu’avant d’être découverte (on ne sait toujours pas par qui et comment) il avait disparu pendant 3 semaines?!
Il n’a, néanmoins, pas touché au plus hautes autorités de la nation, ce qui me fait dire qu’au pire il y aurait eu un débordement à un niveau subalterne, mais non un acte prémédité à un niveau supérieur de l’Etat.
Dieu ait pitié de son âme et qu’il l’entoure de sa sainte et bienveillante miséricorde.
In a lillah wa inna ilayhi raji3oun.