La prolongation de la guerre d’Israël sur Gaza, entrant dans son deuxième mois, marque un tournant critique avec une montée alarmante des victimes civiles dues aux bombardements israéliens, notamment contre des hôpitaux et zones sécurisées. Cette situation a entraîné une intensification des critiques occidentales envers Israël, avec des appels à des sanctions contre Tel-Aviv venant même de ses alliés traditionnels.
L’Assemblée générale des Nations Unies a voté en faveur d’une résolution pour un cessez-le-feu, soutenue par 120 pays, contre 14 qui l’ont rejetée, dont les États-Unis, tandis que le Canada, le Royaume-Uni, l’Allemagne et l’Italie se sont abstenus, révélant une érosion du soutien occidental aux politiques agressives d’Israël.. Des pays comme la Belgique et l’Espagne ont pris des positions fermes, demandant des sanctions explicites contre Israël, y compris la suspension de l’accord de partenariat et l’interdiction d’entrée dans l’UE pour certains individus impliqués dans des crimes de guerre.
Ces développements indiquent un changement significatif dans l’attitude des alliés d’Israël, suggérant une révision possible de leur soutien face aux actions d’Israël dans les territoires palestiniens. Les critiques soulignent l’importance du respect des principes du droit international humanitaire, souvent négligés dans ce conflit, et la nécessité d’une réponse équilibrée pour préserver la sécurité et la stabilité régionales.