La devise « Liberté, Égalité, Fraternité » a depuis longtemps été le pilier de la nation française, représentant un engagement profond envers les droits de l’homme. Cependant, une analyse récente montre une détérioration inquiétante de ces principes fondamentaux dans le paysage politique et juridique actuel.
M. Dupond-Moretti , un avocat devenu ministre malgré un parcours politique discret, est devenu l’un des principaux acteurs de cette érosion. Sa directive controversée, interprétée par beaucoup comme une entrave à la liberté d’expression, est une sonnette d’alarme. Ajoutez à cela son style théâtral dans les affaires judiciaires, et les inquiétudes ne font que croître.
Le mandat d’Emmanuel Macron a également été marqué par un changement notoire dans le paysage politique du pays. Une évolution caractérisée par une baisse des valeurs et de l’éducation politiques dans la gestion des affaires publiques. Les partis traditionnels, jadis piliers de la démocratie française, cèdent désormais la place à des mouvements éphémères, rassemblant des individus sans identité politique claire. Dans ce contexte, attaquer des valeurs aussi sacrées que les droits de l’homme dans un pays qui chante « Liberté, Égalité, Fraternité » devient envisageable.
Ce tournant préoccupant pourrait mener la France vers une forme insidieuse de dictature, où le pouvoir capitaliste exerce une influence démesurée sur l’opinion publique. En effet, la mainmise sur les médias, les chaînes de télévision et les réseaux sociaux, renforcée par la domination du marché boursier, crée une uniformité de discours sous le patronage politique.
Face à ces dérives, des groupes de résistance voient le jour, défiant l’orientation actuelle du pouvoir. Les récents événements tragiques à Gaza et leurs conséquences pour la population civile illustrent parfaitement l’enjeu.
Tandis que le gouvernement israélien poursuit ses ambitions territoriales à Gaza, la voix de la communauté internationale est essentielle. Malheureusement, la France semble avoir choisi de suivre une trajectoire d’injustice. La directive de M. Dupont renie ostensiblement les droits de l’homme et le riche héritage intellectuel français.
De surcroît, l’introduction d’un texte légal criminalisant la parole libre est un signal fort de cette dérive. Ce climat pourrait même s’étendre à la défense des droits du peuple palestinien, qui subit les affres de conflits soutenus par des puissances occidentales.
La directive de l’ancien avocat et actuel « Porte-sceau » français, M. Dupond-Moretti , qui a récemment rejoint le monde politique, évoque des échos d’une chanson de Sheikh Imam : « Interdit de parler, interdit de se taire, interdit de ressentir, interdit de désirer… ». Cette directive rappelle également les événements tragiques à Gaza et leur potentiel impact en France, un pays qui semble ignorer les opinions d’une grande partie de sa population, dont des millions d’Arabes et de Musulmans.
Il est important de se rappeler que la France, contrairement à la Grande-Bretagne, a trahi les pays du Maghreb et de l’Afrique qui l’ont aidée pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle a poursuivi ses ambitions coloniales, intensifiant sa répression jusqu’en 1955. À cette époque, ceux qui luttaient pour l’indépendance étaient accusés de terrorisme. Aujourd’hui, soutenir le peuple palestinien ou critiquer Israël peut être perçu en France comme un soutien au terrorisme, mettant en danger non seulement les politiciens et les intellectuels, mais aussi les citoyens ordinaires et les journalistes.
En outre, toute déclaration ou action susceptible d’affecter la psychologie, l’honneur ou l’appartenance d’une personne peut être considérée comme une violation de la loi pénale française. Participer à un débat, brandir un drapeau ou même soutenir une organisation jugée « terroriste » peut entraîner des sanctions.
Face à la tragédie humaine en Palestine, la France semble avoir dévié de son rôle historique de défenseur des opprimés. Il est primordial qu’elle revienne à ses valeurs fondamentales, plaçant la justice avant la politique.