Le CNP est préoccupé par la dérive de ces médias qui semblent abandonner leur rôle journalistique au profit de positions politiques extrêmes. Charlie Hebdo en particulier, est pointé du doigt pour avoir dissuadé les citoyens de contribuer financièrement à un fonds de solidarité, comme le prévoit la loi marocaine. Une telle démarche, affirme le CNP, est contraire à l’éthique journalistique.
Le CNP note aussi que d’autres médias français, tels que BFMTV et Libération, semblent être entraînés dans cette campagne médiatique douteuse, exploitant la tragédie marocaine pour des motivations politiques internes.
Le CNP déplore en outre les violations éthiques de certains journalistes français sur le terrain, qui ont notamment diffusé des images d’enfants sans consentement.
Malgré cela, le CNP reconnaît et salue le professionnalisme de certains médias français dans la couverture de cette tragédie. Il appelle à la vigilance face aux discours dangereux de certains médias et sollicite les organisations professionnelles françaises pour mettre fin à ces violations éthiques.