Alors que les années 2022 et 2023 ont été marquées par un soutien croissant des pays de l’Union européenne (UE) à la position du Maroc sur le Sahara, elles ont également été témoins d’une vague d’attaques contre notre pays, notamment dans les médias et au Parlement européen, accusant le Maroc d’espionnage et de violation des droits de l’homme.
Alors que le Maroc renforce ses relations avec l’UE, avec plus de dix pays soutenant sa position sur le Sahara et des projets de partenariats en cours, le Parlement européen multiplie les attaques, adoptant une résolution pour la première fois défavorable au Maroc et exprimant des inquiétudes quant à la corruption présumée des autorités marocaines.
Les médias français ont également mené une campagne médiatique contre le Maroc, avec des accusations infondées et des sources anonymes. Les experts s’interrogent sur la raison de ces attaques et considèrent que le Maroc est victime de son succès, car il est en train de gagner en force et en développement, avec de nouveaux partenariats et une stratégie claire. Selon eux, les attaques sont orchestrées par des groupes politiques au Parlement européen, dont certains cherchent à influencer les relations entre les institutions européennes et le Royaume, selon un agenda élaboré par d’autres pays en dehors de l’espace européen, notamment l’Algérie.
D’autres experts estiment que le Parlement européen est proche de certains milieux en France, très actifs dans leur hostilité envers le Maroc. Pour se défendre contre les futures attaques, les experts recommandent de continuer à renforcer des relations entre les institutions législatives marocaines et européennes.