Aujourd’hui, le Conseil de Sécurité de l’ONU a adopté la résolution 2703 concernant la question du Sahara marocain, renouvelant le mandat de la MINURSO jusqu’à fin octobre 2024. Cette décision survient durant une période où le dossier connaît une dynamique positive, notamment grâce à l’engagement du Roi Mohammed VI.
Cette dynamique est renforcée par le soutien international croissant à l’Initiative Marocaine d’Autonomie, marqué par l’ouverture de consulats à Laâyoune et à Dakhla, et par l’essor socio-économique de la région. Notamment, plus de 84% des États membres de l’ONU n’ont pas reconnu l’entité revendiquant l’indépendance du Sahara.
La résolution d’aujourd’hui a mis en lumière les acteurs principaux dans ce dossier, identifiant l’Algérie aussi souvent que le Maroc. Cela renforce l’idée que l’Algérie est un acteur principal dans cette question. La résolution souligne également l’importance des tables rondes dans le processus, mettant en exergue la participation de l’Algérie.
En outre, le Conseil de Sécurité a souligné que la solution doit être « réaliste, pragmatique, et basée sur le compromis ». Cette perspective est alignée avec l’Initiative Marocaine d’Autonomie, largement reconnue comme sérieuse et crédible à l’échelle internationale.
Enfin, l’ONU a rappelé le « polisario » à l’ordre pour ses entraves à la MINURSO, et a instamment demandé à l’Algérie la nécessité d’enregistrer les populations de Tindouf.
Avec ces avancées, le Maroc, sous la houlette du Roi Mohammed VI, continue de soutenir les efforts de l’ONU en vue d’une solution basée sur l’intégrité et la souveraineté du Royaume.
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