La Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a donné un ultimatum au Niger pour rétablir l’ordre constitutionnel, menaçant d’une intervention militaire. L’ultimatum s’est achevé la nuit du 6 au 7 août sans aucun déploiement de troupe, malgré le soutien de la France. Les militaires au pouvoir au Niger ont fermé l’espace aérien et ont déployé des « brigades de veille », avec des renforts du Mali et du Burkina Faso.
L’hypothèse d’une attaque armée inquiète les pays voisins, y compris le Tchad et l’Algérie. La solution idéale semble être diplomatique, avec l’Italie soulignant que l’unique issue est diplomatique et mettant en garde contre un scénario catastrophique. Les peuples africains, excédés par l’influence française, semblent également s’éveiller, appelant à la fin de l’exploitation de leurs ressources naturelles.