Nacir Abdessamad, journaliste marocain émérite, a récemment été mis à pied par Al Jazeera. Ayant rejoint le réseau en 1997, Abdessamad a été une figure emblématique de la chaîne, laissant une marque indélébile grâce à son travail acharné et son professionnalisme. Son dévouement et son soutien envers le Royaume du Maroc l’ont rendu populaire, suscitant l’admiration du public et l’appréciation de ses pairs.
Cependant, malgré son ancienneté et son apport significatif à Al Jazeera, Abdessamad s’est vu contraint de quitter la chaîne en raison de ses opinions favorables au Maroc. Cette décision a soulevé de nombreuses questions sur les motivations réelles d’Al Jazeera et a remis en lumière les défis persistants en matière de liberté d’expression dans le secteur des médias.
Par ailleurs, Hafid Derradji, un journaliste algérien qui travaille également pour la même chaîne, continue de jouir de la protection d’Al Jazeera malgré ses commentaires controversés et souvent insultants envers le Maroc et ses citoyens. Cette situation a conduit à une remise en question du positionnement d’Al Jazeera, autrefois considérée comme un bastion de l’objectivité journalistique.
Certains observateurs et commentateurs estiment que la partialité d’Al Jazeera est de plus en plus flagrante. Alors que la chaîne se revendique comme une voix objective et indépendante, elle semble adopter une approche à double standard, suspendant Abdessamad pour ses positions pro-Maroc tout en protégeant Derradji malgré ses propos anti-Maroc récurrents.